
Le complot dans l’histoire.
Chers auditeurs,
J’ai fait des recherches pendant 12 ans, pour découvrir le grand mensonge d’un monde sans Dieu, un monde totalitaire, régi par Lucifer à travers de nombreux réseaux secrets, pour programmer la perte de l’Eglise, des peuples, des nations et la destruction des états de droit.
Je dénonce cette action du moteur judéo-maçonnique, très réelle, pour arriver à l’hégémonie mondiale.
Je dénonce pourquoi la France et l’Europe sont en crise, pourquoi la France est une suicidaire permanente, pourquoi l’Eglise est confrontée à la plus grande crise depuis l’arianisme et finalement, pourquoi les peuples Européens devraient s’intéresser de plus près aux secrets bien gardés des élites, depuis 1789.
Ont-ils oublié que l’histoire officielle est fabriquée par l’Etat ?
Ont-ils oublié qu’elle est donc, « ipso facto », faussée parce que celui qui détermine l’histoire, détermine le présent et l’avenir ?
Pour bien comprendre, nous allons même retourner aux temps bibliques.
Si le chansonnier « Dieudonné » avait lu l’histoire de « Joseph » et du « Pharaon », et de la grande famine, qui a frappé l’Egypte pendant 7 ans à cette époque, il aurait compris pourquoi l’esclavagisme historique est un domaine hautement sensible et pourquoi aucun financier ne voudrait se mouiller, parce qu’ il s’agissait d’ un quasi monopole des commerçants juifs.
Joseph n’était pas un homme de bonnes œuvres, ni un sous-roi plein de compassion pour le peuple égyptien.
Ceux qui voulaient du grain des greniers du pharaon devaient l’acheter avec tout ce qu’ils possédaient, durant les 7 années maigres.
Quand il n’y avait plus d’argent, il fallait payer avec sa maison, puis son bétail, puis ses terres et puis, au bout du compte, quand le citoyen égyptien ne possédait plus rien, il fallait payer avec son corps et devenir esclave (Gen 47:13).
C’est ainsi que le pharaon a pu acquérir toute l’Egypte et un peuple d’esclaves.
Aux yeux de Joseph, c’était une manière de suivre les commandements de Jawhé et jusqu’à nos jours, tous les Commandements de l’Ancien Testament sont restés en vigueur, même amplifiés et radicalisés dans le « Talmud », l’alfa et l’oméga des rabbinistes.
L’attitude de Joseph, représentant du peuple élu par excellence, est restée exemplaire pour tous les juifs de tous les temps.
Ils n’ont qu’à suivre.
Ce qu’ils font fidèlement, au grand dam des non-juifs.
Dieudonné l’a découvert à son grand étonnement parce que personne n’en parle, ni dans les médias, ni à l’école.
Après Joseph, vers 1250 avant J-C, à l’époque de « Moïse » et les 10 plaies d’Egypte, les égyptiens voulaient se débarrasser des juifs trop dangereux pour leur pays, trop nombreux, indomptables et inassimilables.
Ils formaient un état dans l’état.
Les égyptiens étaient prêts à tout pour se débarrasser d’eux. Jawhé a même ordonné aux juifs d’extorquer tout l’argent et l’or en leur possession (Ex 11: 2 ; 12: 35), ce que ceux-ci ont accepté, pourvu qu’ils partent.
Le peuple élu s’est mis en route avec le butin, à la recherche du territoire donné par Jawhé à Abraham quelques siècles plus tôt (1850 av. J.C.).
Ce butin énorme est devenu le veau d’or et l’objet d’adoration principal.
Cette caractéristique n’a plus quitté le peuple élu.
C’était le début de l’accumulation des richesses, ce qui, avec le « Rothschild » de l’époque, le « Roi Salomon », allait devenir le trésor du Temple.
Plus tard après la destruction du Temple par les Romains, cette énorme réserve financière est restée dans les mains des juifs de la « diaspora », pendant des siècles et jusqu’à nos jours.
Un butin acquis par le premier grand complot de Jawhé avec son peuple élu de l’Ancien Testament.
Cet héritage ne l’a plus quitté.
Il est devenu le fléau du monde moderne depuis la mort du Christ et ensuite à divers endroits de la diaspora :
-l’Espagne d’Isabelle la Catholique,
-Constantinople,
-Venise ;
après la Réforme du 16ème siècle,
-Amsterdam, et
-Hambourg ;
à partir du 18ème siècle,
-Londres.
Cet héritage est devenu le carcan du monde occidental.
Cet héritage est notre malheur, le malheur d’ un monde terrorisé par des crises et depuis la Révolution française, des révolutions et des guerres ininterrompues.
(L’ »illuminé » et écrivain juif, le trotskiste « Christian Rakovski » (« Chaim Rakover ») (1873-1941), dont le mouvement communiste était dirigé par « Rothschild », reconnait dans son fameux livre “Symphonie Rouge” que, les guerres sont des révolutions, que révolution signifie le retournement de la civilisation occidentale, pour remplacer Dieu par Lucifer.
« La Chrétienté est notre seul vrai ennemi », depuis que tous les phénomènes politiques et économiques des états bourgeois, sont seulement ses conséquences.
La paix est contre-révolutionnaire et la guerre mène à la révolution.
Les guerres sont auto-destructives, complotées par des individus qui veulent nous dégrader et nous rendre esclaves.)
Après le départ d’Egypte, la terre promise s’étendait du torrent d’Egypte jusqu’à l’Euphrate, le grand fleuve (Gen 15: 18-21)… actuellement, le territoire à l’est de Suez, la Palestine, la Jordanie, l’Irak et la Syrie.
Mais ce n’était pas tout.
Pour l’enhardir et pour le préserver de toute influence païenne, Jawhé a ordonné à son peuple d’éviter tout contact avec les païens, de massacrer ses ennemis et Il lui a promis toutes les richesses du monde.
De Son peuple élu, Il a fait Ses enfants gâtés, même pourris, pourvu qu’ils suivent la loi de Moïse, nos 10 commandements.
Mais ces commandements concernaient uniquement les juifs.
Le « Talmud » a radicalisé cette attitude de base, contre les non-juifs, avec un orgueil démesuré et une haine implacable.
Les non-juifs sont considérés comme du bétail.
“Cette haine grande et sublime”, selon « Bernard Lazare », unit tous les juifs de tous les temps et du monde entier.
La revue des Jésuites, « Civilta Cattolica », écrivit il y a un siècle, qu’elle est le résultat d’un principe ou d’un système qui s’appuie sur une fausse doctrine morale et religieuse.
Cette haine est commandée aux juifs par leur loi talmudique que leurs rabbins et maîtres leur inculquent et dont leurs livres de morale et de religion, leur font un devoir”.
(La Civilta Cattolica, dd. 10-01-1893, cité par « Hubert de Vries de Heekelingen », dans -Israël son passé, son avenir-, p. 165)
Nous parlons de ces juifs-là, pas des juifs de la Torah.
« Jacob Brafmann » (1824 – 1879), un écrivain juif d’Odessa, écrivit en 1873, dans son “Livre de Kahal” que le judaïsme suivant l’esprit talmudique, se propose d’écraser le Christianisme, l’unique et vrai bastion s’opposant à la domination universelle d’Israël.
Les sentiments principaux qui animent l’esprit talmudique seraient au nombre de quatre :
-une ambition démesurée de dominer le monde,
-une avidité insatiable de posséder toutes les richesses des non-juifs,
-la rancœur contre le non-juif, et spécialement contre le chrétien,
-la haine de Jésus-Christ, symbole même de l’antisémitisme selon les juifs.
L’Eglise catholique est son ennemi principal.
En écrivant son livre, « Brafmann », osant révéler les secrets du « Kahal », se condamne à l’anathème et à la mort.
Il perdit la vie en 1879.
En exploitant la faiblesse humaine, le libéralisme est l’ arme principale pour déstructurer la civilisation chrétienne, en détruisant :
-la nation,
-la famille,
-la religion catholique,
-les mœurs,
-l’art et la culture,
-l’enseignement,
et pour imposer une égalité radicale dans tous les domaines.
Le libéralisme détruit les protections des peuples et des plus faibles, contre les plus forts.
Le « Kahal » a pu maintenir son pouvoir, grâce à la seconde guerre mondiale, le mythe de l’holocauste et depuis lors, l’ utopie du sionisme.
Cette haine talmudique, sacrée, fondée sur la religion, a créé un peuple inassimilable, obsessionnel, schizophrénique et révolutionnaire.
Un peuple qui ne veut que son monde à lui, qui selon Saint Paul, est “l’ennemi de tous les peuples” (I Thes 2: 13-16), qui est toujours à la recherche de domination en cultivant une mentalité qui n’a aucune affinité avec le christianisme.
Sa mentalité est radicalement matérialiste, son paradis est sur la Terre.
Elle est intrinsèquement contraire à la mentalité chrétienne.
La nation juive est encore, après 20 siècles, sous la direction ultra secrète du « Kahal », le Grand Sanhedrin des Pharisiens qui a condamné le Christ.
Depuis lors, il a continué à diriger dans l’ombre.
Pendant tout ce temps, les juifs ont eu un statut particulier, comparable à l’ »apartheid » et voulu de deux côtés.
Pour les autorités civiles et ecclésiastiques, c’était une autodéfense protectrice contre les méfaits juifs que « Soljenitsyne » a bien détaillés, l’usure et le monopole de commerce, et pour les juifs, un ghetto pour contrer l’assimilation.
(Le fameux écrivain Russe « Dostoïevski » (1821-1881) constatait :
“Aujourd’hui, le juif et sa banque dominent partout, l’Europe et les lumières, toute la civilisation, le socialisme surtout car, avec son aide, le juif éliminera le christianisme et détruira la civilisation chrétienne.
Alors il ne restera que l’anarchie.
Le juif gouvernera l’univers.”)
Monseigneur Jouin raconte, en 1921, que cette institution s’oppose aux Etats dans lesquels vivent des juifs.
Son dessein est de gouverner et de maintenir intact et isolé le peuple juif dispersé dans le monde, pour contrer les discriminations, pour sauvegarder son identité et pour contrer l’assimilation.
Le but est que le peuple d’Israël exerce une domination absolue sur le monde entier. Sous la conduite du grand « Kahal », les rabbins furent victorieux sur toute la ligne en sauvegardant partout dans le monde le caractère inassimilable et indomptable de la nation juive.
Le « Kahal » se trouve actuellement à New York, le “Vatican juif”, ou peut-être, depuis 1948, à Jérusalem.
Selon l’historien juif « Bernard Lazare », les rabbins ont atteint leur but.
Ils ont retranché Israël de la communauté des peuples.
Ils en ont fait un solitaire farouche,
-rebelle à toute loi,
-hostile à toute fraternité,
-fermé à toute belle idée, noble ou généreuse. ;
Ils en ont fait une nation misérable et petite,
-aigrie par l’isolement,
-abêtie par une éducation étroite,
-démoralisée et corrompue par un injustifiable orgueuil.
(cité par idem, p. 66)
Dans « Le Figaro » du 26 juillet 2014, le pseudo philosophe « Finkielkraut » ne nie pas le jugement historique que la nation juive, grâce à l’argent et en contrôlant les grands médias, est à l’origine de toutes les crises, guerres et révolutions en Europe et ailleurs dans le monde.
Celles-ci ne sont jamais dues au hasard, mais soigneusement planifiées et dirigées contre les nations et toutes les identités, pour arracher une égalité radicale, pour une liberté absolue, pour réduire la population mondiale, pour détruire la civilisation chrétienne, la propriété, le droit d’héritage, le mariage, la famille, toute autorité et surtout, pour détruire l’Eglise catholique.
L’émancipation des juifs s’est réalisée avec la Réforme du XVIe siècle, l’oeuvre de « Luther », un disciple du « marrane Nicolas de Lyra » (1270-1349), faux moine franciscain et théologien.
A partir de l’Espagne et du Portugal, de Constantinople et de Venise, les juifs se sont installés dans le Nord de l’Europe, à Hambourg et surtout à Amsterdam.
Le roi Anglais Henry VIII (1509-1547), le tyran qui tuait ses nombreuses épouses, a introduit en Angleterre, la Réforme de « Luther » (1483-1546) et du juif « Calvin » (1509-1564).
Plus tard, le dictateur « Oliver Cromwell » (1599-1658), a ouvert la porte.
En achetant « Cromwell », les juifs pouvaient rentrer en Angleterre en 1647, pourvu que le roi catholique Charles I (1625-1649) soit chassé.
« Cromwell », le « Robespierre » Anglais, l’a fait exécuter, comme Louis XVI en 1793.
Il se faisait grassement payer.
Les juifs se sont installés à Londres.
Un demi siècle plus tard, vers les années 1680, les juifs, étant devenus puissants, voulaient se débarrasser du roi catholique Jacques II, petit-fils du roi Charles I.
Ils se sont adressés à Guillaume III, le « stadhouder » calvinviste des Pays-Bas, marié à Mary, fille de Jacques II.
Guillaume, entré dans le complot, devait tuer ou chasser son beau-père Jacques II, ériger la Banque d’Angleterre et créer la City, le mini-état juif bancaire dans le cœur de Londres
.
Guillaume III, s’est fait acheter pour la somme de 2 millions de Livres Or, payée par les juifs d’Amsterdam.
En 1688, Jacques II devait fuir, pour laisser la place à Guillaume d’Orange et ses amis juifs d’Amsterdam (e.a. Menassah ben Israël, Spinoza, Carvajal, Texeira, Cacêras, Sasportas, Matos).
Londres allait devenir la capitale de l’argent du monde entier jusqu’à nos jours, la capitale d’un immense empire jusqu’ en 1950.
Avec l’ascension de Londres en 1688, c’était la fin d’Amsterdam, comme centre financier mondial et la fin du Siècle d’Or des Pays-Bas.
Mais en même temps, Londres allait devenir la capitale des intrigues,
-le centre de conspiration de tous les complots,
-de toutes les manipulations,
-de toutes les déstabilisations,
-de toutes les révolutions,
-de toutes les guerres qui allaient frapper l’Europe pendant les 3 siècles à venir.
A partir de 1700, chaque puissance européenne devait compter avec Londres, à commencer par le Roi Soleil, Louis XIV (1638-1715).
A partir de la guerre de Corée, début des années 1950, le rôle perfide de Londres a été repris par Washington.
La Révolution anglaise du XVIIe siècle, a ouvert le chemin pour la puissance d’argent juif en Europe et dans le monde.
La Révolution anglaise donna naissance à l’époque des Lumières du franc-maçon « Voltaire » et du juif « Rousseau ».
La Révolution anglaise était le précurseur de la Révolution française.
Avec son bourreau juif « Robespierre », la Révolution de 1789, était l’aboutissement d’un processus révolutionnaire de plus de deux siècles.
Elle a été complotée pendant la grande conférence des franc-maçons du monde entier, dans le château de « Rothschild », en 1782, à Wilhelmsbad, près de Francfort.
La Révolution Française allait libérer les juifs de la tutelle des autorités civiles et cléricales en Europe.
A partir de 1791, en France et ailleurs dans l’Empire, le juif perdait son statut “d’ apartheid”. Napoléon voulait les assimiler, mais il découvrait que c’était un effort en vain, impossible.
En même temps, cette émancipation signifiait partout la prise du pouvoir politique de la secte judéo-maçonnique, dirigée au plus haut niveau par le « Kahal » et les banquiers juifs de la City à Londres.
La France n’allait plus se débarrasser du joug de la secte.
La Révolution était le début d’une décadence civilisationnelle, culturelle et politique et depuis le concile désastreux de 1962, aussi religieuse.
Plus qu’ailleurs en Europe, la France est restée sous l’emprise révolutionnaire maçonnique.
Par l’endoctrinement républicain, la Révolution est restée une icone dans les têtes des Français qui n’ont jamais fait leur « mea culpa » sur le régicide de janvier 1793, la Terreur et le génocide Vendéen, les noyades des religieux et des enfants dans la Loire, ni même la persécution de l’Eglise en 1907.
A cette époque, Saint Pie X a dit :
“les sociétés humaines ne peuvent pas se conduire comme si Dieu n’existait pas, sans devenir criminelles”.
Depuis cette année fatidique 1793, la France est devenue la grande malade de l’Europe, une suicidaire permanente au détriment de tout un continent.
Pendant deux siècles jusqu’à nos jours, l’Europe sera le théâtre d’hécatombes sanglantes, par des Etats hyper-centralisés.
Selon le juif « Rousseau » et la philosophie maçonnique qui découle de ses idées, seul le Contrat social entre l’état et l’individu a un droit d’existence.
L’état doit tout absorber, centraliser et étouffer toute initiative, car en dehors de la loi, toute vie est impossible.
Chaque activité sociale en dehors de l’état, doit être détruite.
Il faut dénaturer l’homme.
Chacun appartient à la communauté et les biens privés doivent disparaître pour être absorbés par l’état et chaque entreprise doit être nationalisée.
« Rousseau » formulait ainsi le cœur du fléau communiste, une histoire juive, mis en pratique dans l’Union Soviétique.
Cet empire juif en Russie, était le précurseur du ‘Nouvel Ordre Mondial’, le deuxième empire juif totalitaire, construit par la franc-maçonnerie et la Haute Finance du monde anglo-américain.
La Révolution française est la plus grande, la plus radicale attaque complotée, d’une ampleur jamais vue, contre une société d’hommes libres.
Elle a été propagée sous prétexte de liberté et d’égalité, de science et de démocratie, par opposition à une période de «tyrannie» et de «superstition».
Mais la monarchie de l’époque était loin d’être tyrannique ou toute-puissante !
C’était un système administratif décentralisé qui, en plus de l’Eglise qui s’occupait de l’enseignement et de la santé, avait des provinces et une multitude de parlements et de pouvoirs publics locaux, avec des corps intermédiaires.
Le monarque devait tenir compte d’une pluralité de contre-pouvoirs et en particulier de l’Eglise.
Les impôts étaient faibles et la dette de l’état inexistante.
En France, le banquier suisse « Necker », franc-maçon et Illuminé, a inventé l’emprunt d’état et le papier- monnaie.
Les Jacobins révolutionnaires ont détruit totalement les intermédiaires sociaux pour mettre en place un état centralisé et puissant, pour introduire des impôts élevés et agrandir la dette.
Ils sont les inventeurs du socialisme d’état.
La Révolution était un énorme mensonge utopique.
Ni la monarchie, ni l’Eglise, n’ont eu l’ambition d’exercer une telle emprise intégrale sur la population entière.
Elles en auraient d’ailleurs été incapables.
A la tribune de l’assemblée Constituante de 1789, le parlementaire révolutionnaire, « Rabaut-Saint-Etienne », déclara que :
«Pour rendre le peuple heureux, il faut le rénover, changer ses idées, ses lois et ses mœurs.
Il faut aussi changer les hommes et les choses.
Bref, tout détruire, oui, tout détruire, puisque tout est à recréer ».
A partir de la crucifixion du Christ et l’emprisonnement de Pierre et de Paul à Jerusalem, l’histoire se fera entre deux pôles.
Une lutte acharnée du judaïsme contre le Christianisme.
“Le seul vrai combat dans l’histoire, est celui contre ou pour l’Eglise du Christ”,
disait Dom Bosco (1815-1888).
Cette guerre implacable entre le bien et le mal a commencé sur la croix de Golgotha et n’a plus jamais quitté le monde.
Saint Pierre et Saint Paul seront tués par l’empereur Néron (54 – 68) en 67, influencé par ses conseillers juifs et surtout par sa maîtresse, la juive Poppée, appelée aussi “l’impératrice” de Rome.
A son époque, Rome avait même un préfet juif.
Depuis son règne, les juifs accaparaient beaucoup d’influence à la cour impériale.
Néron a lancé 246 ans de persécutions contre les Chrétiens.
Dans l’année 155, le rabbin « Jehuda », a pu établir une loi romaine disant que tous les Chrétiens, à Rome, devaient être tués.
Cette loi a causé la mort de milliers de Chrétiens, entre autres les papes « Caius » et « Marcellin ».
Ils étaient souvent exécutés à la hache par des bourraux juifs.
A l’époque de la révolte juive contre Rome, de l’an 132 à 135, le gouvernement juif de la Palestine, a tué 104.000 Chrétiens.
Le même nombre tomba pendant l’occupation Perse de la Palestine, sur l’instigation juive.
A notre époque nous avons vu la Première Guerre mondiale de 1914, complotée et manipulée par des franc-maçons et des financiers juifs anglo-américains, en collaboration avec des politiciens français de la troisième République maçonnique, pour massacrer les peuples Chrétiens en Europe, pour détruire trois empires Chrétiens, pour détruire l’Allemagne industrielle et productive, pour enflammer la Révolution juive bolchevique en Russie et finalement, pour mettre sur pied un état juif en Palestine.
Deux décennies plus tard nous avons vu la suite, la Deuxième Guerre mondiale de 1940.
Manipulée par les mêmes acteurs financiers, pour piéger l’Allemagne dans une guerre sur deux fronts et ensuite la détruire, et pour protéger le jeune empire Soviétique chancellant, contre les pays de l’Axe, l’Allemagne, l’Italie et le Japon.
Ceux-ci étaient farouchement anti-communistes et ils voulaient endiguer cette menace, rien de plus. Mais le communisme est une histoire juive et les banquiers voulaient sauver la façade communiste.
Dans ces deux cas tragiques, les mêmes financiers ont chassé les premiers-ministres britanniques, lord « Asquith » en 1916 et « Chamberlain » en 1940, parce qu’ ils étaient des patriotes et des anti-sionistes.
Ils ne voulaient pas suivre les instructions des banquiers juifs anglo-américains.
Ceux-ci les ont fait remplacer par les acolytes de « Rothschild », « Lloyd George » en décembre 1916 et « Churchill », le 10 mai 1940.
Le dernier cultivait une haine profonde de l’Allemagne, d’où ses bombardements criminels (e.a. Dresden) contre la population Allemande pendant la guerre.
Déjà à l’époque de « Gladstone » et « Disraëli », dans le 19ème siècle, l’Angleterre et les Etats Unis étaient devenus des colonies des financiers de la nation juive de la diaspora, les sionistes de notre temps.
A l’époque sanglante du XXe siècle, nous avons vu les massacres antichrétiens dans l’empire juif de l’Union Soviétique.
A la même période, pendant la guerre d’Espagne, dans les années 1930, les républicains Espagnols, composés de franc-maçons, de communistes, d’ unités juives et d’ anarchistes, soutenus par Staline, ont tué des dizaines de milliers de religieux et de citoyens catholiques.
Selon un prêtre palestinien, en visite à Toulon il y a un an, les guerres et révolutions en Irak, en Syrie, en Palestine et même en Egypte, sont manipulées par Israël pour fortifier sa mainmise sur le Moyen Orient et pour en chasser tous les Chrétiens.
Il aurait pu ajouter la guerre contre la Serbie orthodoxe, dans les années 1990, engagée par le président franc-maçon « Clinton », ou la guerre civile en Ukraïne allumée par le président franc-maçon « Obama ».
La diabolisation actuelle de la Russie et du président « Poutine » est traîtée de la même façon.
Pour se justifier, « Néron » et « Poppée », ont mis le feu à Rome pour pouvoir accuser les Chrétiens.
Cette inversion accusatoire sera pendant deux millénaires la caractéristique typique de la main cachée juive, manipulant la franc-maçonnerie.
Récemment la guerre en Irak en est un exemple typique.
En général, les empereurs romains n’avaient rien contre les Chrétiens, « Néron » non plus, avant « Poppée ».
L’empereur « Claude » (268 – 270) a même banni les juifs de Rome, parce que les juifs causaient des troubles et des révoltes en semant la haine contre les Chrétiens.
Mais l’influence juive a changé la donne, surtout pendant le règne des empereurs « Sévère » (306 – 307) et « Julien » (361 – 363).
Le Père de l’Eglise « Tertullien » souligne plusieurs fois que les synagogues formaient le point de départ des persécutions et de la violence contre les chrétiens.
Son jugement était partagé par les saints suivants, Athanase, Irénée, Jean Chrysostome, Ambroise, Isidore, Augustin, Thomas d’Aquin et bien d’autres saints.
‘Maurice Pinay’, l’écrivain-nègre du fameux cardinal ‘Ottaviani’, avertissait, à la fin des années 1950, les cardinaux et les évêques pour le courant moderniste et anti-traditionnel du Concile judéo-maçonnique qui allait venir.
Il disait que le courage et la résistance des prêtres et des évêques durant cette longue période du « martyrium », contre la “Synagogue de Satan” de l’Apocalypse de Saint Jean (Ap, 2: 9 et 3: 9), ont été décisifs pour la survie de l’Eglise, grâce à l’ incroyable courage pendant les persécutions.
Surtout, le clergé n’arrêtait pas d’ indiquer le mal et de démasquer l’ennemi.
Puisant sa force dans le Saint Sacrifice de la Messe, il ne reculait devant rien, ni devant les menaces, et ne voulait pas chercher des compromis.
Ce courage héroique des clercs a complètement disparu avec la liturgie du “souvenir” et du “repas” luthérien que le faux Pape Paul VI a obligatoirement introduit le 7 mars 1965.
Le mauvais fruit de ce Concile a causé l’indifférence chez le clergé et les croyants.
Ils ne sont plus “conduits par l’Esprit de Dieu” (Rom. 8: 12-17), mais le libéralisme a pris possession de leur âme, à chaque niveau de la hiérarchie jusqu’au sommet, tandis que la menace n’a pas changé de nature vu la crise dans l’Eglise et le nombre de Chrétiens persécutés partout dans le monde.
Au contraire, depuis le Concile judéo-maçonnique des franc-maçons Jean XXIII et Paul VI, juif et homosexuel connu, le document « Nostra Aetate » a pétrifié le clergé.
Dans ce document la responsabilité éternelle des juifs pour la Crucifixation du Christ est remplacée par “l’humanité”, malgré la contradiction flagrante avec les Saintes Ecritures.
« Nostra Aetate » blanchit les juifs de leur crime historique, en les mettant à l’écart de toute critique, malgré les faits historiques et de nos jours, le communisme, une histoire juive qui a fait une centaine de millions de victimes, partout dans le monde.
Vis à vis de l’histoire juive, le clergé catholique semble pétrifié, désintéressé ou indifférent, le contraire des clercs héroïques du début de l’Eglise.
Il n’est même plus au courant des faits, depuis que tous les textes critiques sur les pharisiens et les condamnations du Christ, ont disparu des Saintes Ecritures dans le nouveau missel.
Depuis la Deuxième Guerre mondiale, c’est le grand silence sur la vraie histoire de l’Eglise, sur les faits, sur l’héroïsme des martyrs de tous les siècles et dans le vingtième, les centaines de milliers de clercs chrétiens, victimes du communisme.
Aussi, Pie XII a été le dernier pape à condamner le communisme, “intrinsèquement pervers”.
Aucun de ses successeurs n’a eu le même courage de viser “l’ennemie de tous les peuples”, selon Saint Paul (I Thes. 2: 13-16).
Les événements actuels et la persécution des chrétiens au Moyen Orient, passent aussi sous silence !
Comme si cela pouvait freiner l’orgueil, la cruauté et l’acharnement de la “Synagogue de Satan” selon Saint Jean (Ap. 2:9 et 3:9), à déstabiliser le monde ou le mettre à feu et à sang, à causer des crises bancaires ou économiques, à combattre l’Eglise et à clouer au pilori chaque renouveau catholique pour la reconstruction de la Royauté du Christ.
Jean-Jules Van Rooyen
https://lacontrerevolution.wordpress.com du 27/05/2015