
Une erreur funeste à éviter.
L’omnipotence et les mensonges de la juiverie à travers le monde devenant de plus en plus flagrants, plusieurs commencent à ouvrir les yeux sur la tyrannie que la synagogue de Satan est en train d’établir à l’échelle planétaire.
Il n’est plus rare de voir quelque âme en quête de vérité se lancer dans la lecture d’un livre comme Des pions sur l’échiquier, et de voir les écailles tomber de ses yeux sur l’horrible réalité de ce monde.
Le monde au pouvoir d’une minorité de milliardaires juifs, tentant d’établir un gouvernement mondial, dont les « goïms » seront les esclaves.
Ainsi réaliseront-ils leur rêve tant attendu du règne de leur Messie politique, puisqu’ils n’ont pas voulu du règne du « vrai Messie » annoncé par leurs prophètes, qu’ils ont crucifié.
C’est le temple maçonnique voulant s’ériger sur les ruines de l’Église Catholique, pour reprendre le sous-titre de La Conjuration Anti-chrétienne de Monseigneur « Delassus », avec l’établissement de leur grand roi, qu’ils veulent établir avec le consentement béat du peuple qu’ils auront complètement abruti par l’hédonisme et le règne de l’image :
« Le peuple aura pour lui un sentiment de respect si profond qu’il sera proche de l’adoration, spécialement lorsqu’il se convaincra que ses fonctionnaires exécutent aveuglément ses ordres et que, seul, il règne sur eux.
Ils se réjouiront de nous voir organiser leurs vies comme si nous étions des parents désireux d’inculquer à leurs enfants un vif sentiment du devoir et de l’obéissance. »
Déjà l’abbé Meinvielle s’exclamait en 1936 :
« Où ne domine pas le juif ?
Ici, dans notre pays, quel point vital de notre zone y a-t-il, où le juif ne bénéficie du meilleur de notre richesse en même temps qu’il empoisonne notre peuple avec ce qu’il y a de plus néfaste dans les idées et les loisirs ?
Buenos Aires, cette grande Babylone, nous en offre un exemple typique.
Chaque jour son essor est plus grand, chaque jour aussi y est plus grande la puissance judaïque.
Les juifs contrôlent ici notre argent, notre blé, notre maïs, notre lin, nos viandes, notre pain, notre lait, nos industries naissantes, autant que cela peut rapporter utilement,
et en même temps ce sont eux qui sèment et fomentent la haine entre patrons et ouvriers chrétiens, entre bourgeois et prolétaires…
– ce sont eux les agents les plus passionnés du socialisme et du communisme…
– ce sont eux les capitalistes les plus puissants de ce qu’il peut y avoir de dancings et de cabarets à infecter la ville.
On dirait que tout l’argent que nous raflent les juifs, de la fertilité de notre sol et du travail de nos bras, est ensuite investi pour empoisonner nos intelligences et corrompre nos cœurs. »
Que dirait-il aujourd’hui, après 80 ans de démocratie talmudique ?
Il rajouterait :
Le juif contrôle le Vatican, nos gouvernements, nos banques, nos lois, nos impôts, nos industries, nos médias (télévision, cinéma, radio, internet, journaux), nos écoles, nos universités.
Avec cet arsenal la majorité de la population est bien transformée en « goïms » dociles et consentants.
Plusieurs sont tentés alors de donner dans un antisémitisme primaire, et même plus inquiétant, de ne faire aucune distinction entre l’Ancien et le Nouveau Testament.
On trouve cette tendance dans le milieu nationaliste, chez ceux qui sont privés des lumières de la Foi catholique.
Il leur est impossible de comprendre le problème juif dans sa réalité complète, car avant d’être un problème racial ou communautaire, il est une réalité théologique.
Ils n’admettent pas que le peuple juif ait été élu par Dieu, à cause de la foi d’Abraham, pour que de ce peuple, protégé de l’ »idolâtrie » par Dieu et par les saints suscités au sein de ce peuple, naisse le Messie pour opérer la Rédemption du genre humain.
Nous, catholiques, nous avons la même Foi qu’avaient Abraham, Isaac, Jacob, Joseph, Moïse, Josué et tous le peuple juif fidèle de l’Ancien-Testament.
Nous, nous croyons au Messie venu, eux croyaient au Messie à venir.
Ne voit-on pas, par exemple, des auteurs, comme « Jean Boyer », donner le pas à cette grave méprise, dans son ouvrage « Les pires ennemis de nos peuples ».
Certes, l’ouvrage dénonce les exactions des juifs dans le Nouveau testament, mais le début de l’ouvrage peut être compris comme un procès en bon et due forme contre la Sainte Écriture, qui conduit à un souverain mépris des prescriptions divines données aux juifs, pour se préserver des peuples idolâtres.
Ces prescriptions divines sont assimilées par « Jean Boyer », à des assassinats et des meurtres, des vols et des pillages des autres peuples, selon les interprétations israélites.
Mais « Jean Boyer » ne fait pas la distinction nécessaire et fondamentale sans laquelle on ne peut rien comprendre, à savoir la venue du Messie, Notre Seigneur Jésus-Christ, né de son peuple élu en Abraham, qui a opéré la rédemption pour tous les hommes et pas seulement des juifs.
Mais voilà, « il est venu parmi les siens, et les siens ne l’ont pas reçu, selon Saint Jean ».
A la mort du Christ sur la Croix, le voile du temple s’est déchiré de haut en bas, signifiant la fin des prescriptions judaïques de l’Ancien Testament, qui trouvèrent leur achèvement dans le sacrifice de l’Agneau Divin sur la Croix.
Nous catholique nous croyons que l’auteur de la Sainte Écriture est le Saint-Esprit lui-même, deuxième personne de la Sainte Trinité, qui a inspiré les auteurs sacrés, pour que tout en conservant leur liberté et leur style, la parole de Dieu soit révélée à l’humanité.
Lorsque Dieu commande par exemple à Josué la conquête de la Terre Promise, et de passer au fil de l’épée les habitants de ces terres pour en prendre possession, nous l’affirmons haut et fort, ce n’est pas un assassinat, mais un ordre souverainement sage de Dieu, maître de la vie et de la mort.
Faudra-t-il aussi accuser Dieu lui-même d’assassinat, qui a ordonné à ses Anges le Déluge, qui fit périr l’humanité entière sauf une famille ?
Nous sommes tous condamnés à mort par notre Dieu, c’est la rançon du péché originel d’Adam et Ève, et c’est parfaitement juste.
Pour comprendre ces ordres divins, qui pourraient paraître révoltant en première lecture, il faut avoir conscience de l’état de l’humanité et des peuplades de cette époque auxquelles étaient confrontées les juifs de l’époque.
Ces peuples étaient des idolâtres complètement sous le joug de Satan, adonnés à tous les vices les plus horribles.
Ils pouvaient mettre en péril le plan divin de la Rédemption.
Pour préserver la Foi et les bonnes mœurs de son peuple d’où devait naître le Messie et sauver tous les hommes, il était nécessaire de le préserver de toute alliance avec ces peuplades qui l’auraient corrompu.
D’autant plus que ce peuple était particulièrement enclin au vice, à cause de son orgueil.
Moïse avertit expressément les israélites :
« Sache donc que ce n’est pas à cause de ta justice que Yahweh, ton Dieu, te donne ce bon pays en propriété…car tu es un peuple au cou raide ».
Dieu même fini par se lasser de ce peuple – choisi à cause des mérites de la Foi d’Abraham – et c’est grâce à à la prière de Moïse qu’il le garde :
« Et Yahweh me dit :
« Je vois que ce peuple est un peuple au cou raide.
Laisse-moi, que Je les détruise et que J’efface leur nom de dessous les cieux…
et Je ferai de toi une nation plus puissante et plus nombreuse que ce peuple ».
En effet, toute l’histoire du peuple hébreu, est une succession d’interventions divines afin de préserver la vraie foi au Messie, et le vrai culte prescrit par Moïse, figure admirable du futur culte catholique.
Il faut savoir aussi admirer toute cette histoire de l’Ancien Testament, dans son sens prophétique et mystique, preuve admirable du caractère divin des Saintes écriture :
Dieu est si puissant qu’il a pu revêtir les actes humains parfaitement libres, d’un sens prophétique et mystique, annonçant dans les moindre détails l’Incarnation, la Vie, la Passion et la Résurrection de Notre Seigneur Jésus-Christ, centre de l’Histoire, et bien d’autres faits de l’histoire de l’Église.
Toutes ces magnifiques interprétations prophétiques et mystiques nous ont été données par les Pères de l’Église.
Les principales sont rassemblées admirablement dans les ouvrages de « Dom de Monléon » que nous avons réédités :
Les Patriarches – Moïse – Josué et les Juges – Le Roi David – Le Prophète Daniel – Commentaire sur le Prophète Jonas – Les Noces de Cana.
En lisant ces ouvrages on se rend compte de la haute sainteté qu’ont pratiquée ces saints personnages, ancêtres du Messie promis depuis Abraham :
« Avec lui et avec ses successeurs : Isaac, Jacob et Joseph, nous nous trouvons devant des hommes qui appartiennent à la plus haute classe spirituelle de l’humanité.
Les présenter comme de simples spécimens du milieu où ils ont vécu, comme des hommes semblables à tous les autres, à des Bédouins peu scrupuleux, est une grave erreur.
Nous devons tenir pour assuré au contraire qu’ils ont brillé dans leur temps comme la lumière dans les Ténèbres, et qu’ils ont tranché sur leur entourage comme le blanc sur le noir.
Et, ce n’est pas une moindre erreur de penser que la perfection à laquelle ils ont été appelés, était une perfection toute relative, une perfection embryonnaire, proportionnée à leur « conscience crépusculaire », à l’état d’hommes encore à demi animaux qu’on voudrait leur attribuer.
Le concept de perfection ne supporte pas plus d’amoindrissement que celui de vérité ou de justice.
Il a les mêmes exigences sous la loi de nature et sous la loi de Moïse, que sous le Nouveau Testament. « Abraham, dit saint Épiphane, fut appelé par Dieu à la perfection évangélique, comme devaient l’être plus tard Pierre et André, Jacques et Jean. » »
L’abbé Meinvielle mettait déjà en garde contre cette erreur funeste pour expliquer le juif :
« Je dis : expliquer, parce que ces pages ont la prétention d’être une explication du juif, et, dans ce cas, la seule possible, une explication théologique. »
Le lecteur qui n’en serait pas convaincu devrait vraiment lire cet ouvrage de l’abbé « Meinvielle » « Le Juif dans les Mystères de l’Histoire ».
Nous ne connaissons pas d’ouvrage qui mette si bien en lumière cette question éminemment d’actualité.
Corruptio optimi pessima :
Le peuple juif était le « peuple porteur du Rédempteur de l’humanité », c’est en cela que résidait sa grandeur et sa noblesse, sa supériorité sur les autres peuples.
L’ayant refusé, crucifié et mis à mort en tant que peuple (« Et tout le peuple répondit : Que son sang retombe sur nous et sur nos enfants ! (Mat. XXVII, 25 »), il est devenu maudit et l’instrument privilégié de Satan pour combattre l’Église catholique fondée par Jésus-Christ.
Toute l’histoire moderne s’articule autour de cette lutte acharnée :
« Mais ce lignage choisi aura toujours le pas sur les autres lignages de la terre. S’il accepte le Christ, il sera le principal, le meilleur de l’Église.
Il sera la racine et le tronc de cet olivier qui produit des fruits pour la vie éternelle, comme l’enseigne l’Apôtre.
S’il repousse le Christ, il sera aussi le principal, c’est à dire le pire, dans le royaume de l’iniquité. »
En reconnaissant la grandeur du peuple juif de l’Ancien Testament, il ne s’agit donc pas de camoufler la perfidie des juifs talmudistes du Nouveau Testament, au contraire.
Mais il ne faut pas tomber dans cette grave erreur qui confine au blasphème, qui mélange l’Ancien et le Nouveau Testament, comme le fond certains nationalistes ignorants des Saintes Écritures.
La vraie héritière des juifs de l’Ancien Testament, ce n’est pas la Synagogue des temps modernes, c’est la sainte Église Catholique.
Et il est admirable de voir que ce changement d’héritage est prophétisé à multiple reprise dans l’Ancien Testament :
« Saint Paul, dans son Épître aux Romains, où il révèle le mystère du peuple juif, fait voir comment Ésaü, l’aîné selon la chair, c’est le peuple juif uni à Abraham par les simples liens du sang, et Jacob le frère cadet, c’est l’Église (formée de Juifs et de Gentils), qui, parce qu’elle est unie par la foi au Christ, est préférée à Ésaü.
Et ainsi s’accomplissaient les paroles de l’Écriture :
« J’ai plus aimé Jacob et j’ai détesté Ésaü ».
Et c’est ainsi que l’Église vainc la Synagogue, bien que la Synagogue, comme Esaü, « maintienne vive sa haine et dise en son cœur : Je tuerai mon frère Jacob ». (Gen 27, 41) »
Il ne faut pas donc chercher dans l’Ancien Testament les raisons de la perfidie des juifs de la synagogue de Satan.
La cause essentielle est le refus du Messie promis et le déicide du Verbe incarné.
Bruno Saglio
(directeur des éditions Saint-Rémi)
https://lacontrerevolution.wordpress.com du 08/07/2015
Le peuple d’Israël n’a été choisi que pour la foi d’Abraham et parce qu’il serait la souche du Messie Rédempteur de TOUTE l’Humanité.