Archive | 19/07/2015

Un Placebo Pour L’ Opinion Publique !

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Vigipirate,
le « placebo » de la sécurité !

Les accords imposés à des pays par d’autres occupent le devant de la scène politique.

L’international est à la une.
On observera combien cette réalité relativise la démocratie.
Les peuples souverains ne le sont plus guère, et sans perdre la guerre, ils se soumettent néanmoins.
La réalpolitique triomphe puisque les responsables des pays qui comptent imposent leurs règles à ceux qui comptent moins.
Bien sûr, le degré de soumission dépend aussi de la taille du soumis.
Il est préférable d’être l’Iran que la Grèce.

Que deviendra l’accord grec auquel « Tsipras » avoue ne pas croire ?
Que fera l’Iran de celui qu’il a obtenu au grand dam d’Israël ?
Les parlements des pays concernés donneront un vernis démocratique à des processus marqués par les calculs à court terme des politiciens, Hollande ou Obama, par exemple, mais qui oserait affirmer que le premier a servi l’Europe et le second la paix au Moyen-Orient ?

C’est pourquoi, en contrepoint de ces fausses bonnes nouvelles qui peuvent donner envie de partir en vacances l’humeur joyeuse, je voudrais commenter une expérience vécue avant-hier dans ma ville de Tourcoing.
A la suite d’un accident mortel survenu au cours d’une fuite devant une intervention policière, des échauffourées et des incendies de véhicules avaient embrasé une partie de la ville au début du mois de Juin.

Il est donc urgent de montrer à la population que tous les moyens sont mis en oeuvre pour que règne désormais l’ordre républicain.
L’un de ces moyens repose sur le « Plan Vigipirate » destiné à prévenir les actes terroristes.
En centre-ville, déambulait donc, ce mardi, une patrouille composée de trois « bérets verts » sur pied de guerre, conduits par deux policiers plutôt bonhommes.
Cet imposant équipage croisa dans une rue piétonne une femme voilée de noir du haut en bas, dont les yeux seuls étaient visibles.
Bref, elle portait le type même du vêtement que la loi interdit dans l’espace public.

Le policier gradé qui commandait le groupe de surveillance esquissa un geste discret en direction de la contrevenante et continua son chemin.
N’ayant rien perdu de la scène, je l’interpellais- juste revanche- pour lui demander pourquoi il ne l’avait pas verbalisée.
Sa réponse tint en deux arguments :
D’abord, la patrouille agit dans le cadre de vigipirate et n’est pas là pour verbaliser les tchadors.
Ensuite, ça ne sert à rien, « on » leur paye les contraventions.

Cet événement en apparence insignifiant est essentiel car il révèle à lui seul combien notre société est devenue un décor où s’agitent des personnages fictifs mis en scène par des politiciens assez habiles pour faire croire que notre démocratie est autre chose qu’une falsification, un trompe-l’oeil destiné aux benêts que sont les citoyens et contribuables.
Résumons :
Scandalisés par cette offense à la laïcité et à la dignité de la femme que constitue le voile intégral, nombre de politiciens ont voulu interdire la burka ou le niqab .
J’avais rédigé une Proposition de loi en ce sens pour rappeler notamment que le seul principe qui pouvait être invoqué était celui de la sécurité dans l’espace public.
La liberté du vêtement pour des raisons d’ordre religieux ou liées au sexe appartient à chacun. Lorsque le masque permet d’échapper à la videoprotection, l’impératif de sécurité permet au contraire de l’interdire.
J’observe que les patrouilles de « vigipirate » n’ont sans doute pas bien compris la loi et laisseront passer une bombe vivante éventuelle sans encombre alors qu’un contrôle préventif aurait pu l’arrêter, ou tout au moins l’identifier afin de contribuer, même après coup, au renseignement.
Le rôle des caméras est dissuasif, mais aussi et surtout utile aux élucidations.
C’est pourquoi, lorsqu’on se trouve dans le cadre de « vigipirate », il faut verbaliser et démasquer les visages voilés.
Bref, la loi votée n’est pas appliquée, et ceux qui ne la respectent pas ont même le plaisir de narguer policiers et militaires.

La loi et le débat qui l’a entourée, un attrape-nigauds !

A force de ne pas donner suite au travail policier, on a dilapidé l’autorité des policiers et des gendarmes, découragé leur action, et fourni d’excellentes raisons aux moins motivés..
Etait-il utile en plaçant nos soldats dans une situation d’impuissance et sous la dépendance de policiers, de réduire aussi leur prestige pourtant justifié par des opérations réussies comme celle du Mali ?
L’armée est faite pour s’attaquer à l’Etat islamique et le détruire.
Elle n’a pas pour vocation de surveiller les édifices et les rues.
Non seulement cette présence est inutile et fera défaut là où l’attaque aura lieu, comme on l’a vu récemment à l’occasion d’une décapitation et d’une tentative d’attentat sur le site d’Air Products en Isère, classé Seveso, mais elle expose dangereusement des soldats, dont les effectifs sont devenus tragiquement insuffisants.
Récemment, un projet de décapitation d’un officier de Port-Vendres a été découvert.
Un vol important a également été commis sur un site militaire mal surveillé à Miramas.
Mais l’armée surveille la place de Tourcoing pour impressionner les Tourquennois, enfin, ceux qui n’ont pas la moindre idée d’attentat en tête…
De même des effectifs policiers limités empêchent bien sûr de suivre en permanence les individus dangereux.
Tous les auteurs d’attentats depuis « Merah » étaient « connus » des services de police, mais la surveillance a dû être relâchée faute de moyens.
Lorsqu’un ennemi est nombreux et peu prévisible, la défense est un leurre.

Il ne s’agit plus de sécurité, mais de guerre, dans laquelle l’attaque est la meilleure des stratégies.

Vigipirate est donc le placebo destiné à l’opinion publique pour lui faire oublier que l’Etat ne fait pas appliquer la loi, n’assure pas la sécurité des citoyens, et ne fait pas vraiment la guerre aux ennemis du pays.

Notre Etat fait lourdement semblant…

Christian Vanneste

http://www.ndf.fr/  du 18/07/2015

Vil Projet Des Sbires Du Mondialisme !

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Les migrants, « une force » ?

Comment continuer à justifier le besoin d’immigration dont les conséquences délétères s’avèrent de plus en plus difficiles à occulter ?

Quels moyens reste-t-il à mettre en œuvre quand les mensonges ne passent plus, que les pseudo-explications ne trouvent plus d’écho, que la culpabilisation n’atteint plus ?

Eurêka, « Libération » a trouvé !

D’abord, permuter les causes et les conséquences.
Si l’immigration est devenue un problème pour les Européens, c’est à l’instigation de l’extrême droite qui a diffusé cette idée.
Pour « Libération » :

« Non, les migrants ne sont pas un fardeau ! ».

100.000 migrants supplémentaires prévus aux portes de la Méditerranée, dans une Europe comptant 500 millions d’habitants, soit une personne pour 5.000 habitants, mais où est le problème ?
Environ dix millions de musulmans en France, une immigration extra-européenne intarissable, dont les femmes ont un taux de fécondité trois fois supérieur à celui des femmes d’origine française, mais où est le problème, en effet ?
Et « Libé » de vanter fort à propos l’exemple de la Californie où, selon le recensement de juin 2014, y vivent 14,99 millions de Latinos contre 14,92 millions d’autochtones.
L’avis des Californiens sur la question ?
À « Libé »… on n’en dit mot !

Ensuite, il faut répéter que :

« non, les migrants ne viennent pas nous envahir, ni manger notre pain, ni prendre notre travail, ni piller nos ressources ».

Cela pourrait être vrai,
– si la France ne comptait pas 6,2 millions de chômeurs.
– Si des Français, faute de couverture sociale, ne renonçaient pas à se soigner.
– Si les sans domicile fixe ne se voyaient pas refuser logement ou repas au profit des migrants.
– Si la dette de la France n’avait atteint 2.300 milliards d’euros, déposant ainsi dans les berceaux 33.000 euros [de dettes] sur la tête de chaque nouveau-né.
– Si le Qatar et l’Arabie saoudite n’achetaient pas des pans entiers de notre territoire géographique, économique et sportif.

Enfin, l’argument massue de Libération :
A l’entendre, refuser l’immigration nous priverait de futurs « Marie Curie », « Georges Charpak », « Picasso », « Milan Kundera », qu’il n’a aucun scrupule à mettre sur le même plan que des sportifs et des hommes politiques.
(Ils ne nous donnerons jamais un autre « Vercingétorix » ou un autre « Clovis », les gaulois ne sont pas des caniches d’Obama – pelosse)

Si « Milan Kundera » ressent la France comme « la patrie de ses livres », un « Zidane », en revanche, est « fier d’être Algérien ».
Une « Hidalgo » considère le ramadan comme « faisant partie de notre patrimoine culturel » et une « Belkacem » ne voit pas d’inconvénient à répondre « Inch Allah » à la question d’un journaliste évoquant l’éventualité d’un ministre berbère en France…

Au sein de la foule des migrants bientôt répartis partout sur notre territoire,
– combien de « Marie Curie » et de « Charles Aznavour » – Français dans « sa tête et dans son cœur » – sur combien qui ne se sentiront jamais Français ?
– Combien de « Léon Schwartzenberg » ?
Surtout, parmi les migrants,
– combien de « Coulibaly » se seront glissés à bord des bateaux, dans le seul but de « tuer des Français par n’importe quel moyen » ?

Les migrants ne sont pas « un fardeau », donc, mais « une force ».
C’est bien là l’objet de nos craintes.

Caroline Artus

www.bvoltaire.fr  du 18/07/2015

Les « immigrés » que nous avions adoptés à l’époque, aux conditions de l’époque il faut le rappeler, venaient tous d’Europe, aimaient la France !
« Libération » a trouvé de bien mauvais exemples !

Non Au Génocide De Notre Europe !

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 Faire de l’Europe
un continent-monde

Notre loge européenne organise l’invasion migratoire.

Le continent est frappé par la crise économique.

Politiquement, l’Union européenne est un néant antidémocratique.
Les mensonges se succèdent les uns aux autres, François Hollande assimilant l’Europe à l’Union européenne et l’Union européenne à la zone euro, omettant de préciser que de nombreux pays européens n’appartiennent ni à l’Union européenne ni à la zone euro.

Mais la priorité de ces pathétiques dirigeants reste la même :
Faire de l’Europe un continent-monde, censé accueillir un flux migratoire d’une importance jamais vue dans l’histoire de l’humanité.

L’intégration est en panne ?
Nous n’avons plus les moyens de mettre au travail ces nouveaux venus ?
Le terrorisme islamiste menace chaque jour un peu plus ?
Pas grave, vous allez encore devoir recevoir chez vous des clandestins.

Si l’on écoute les spécialistes de la vie politique européenne, « Viktor Orbán » est un affreux dictateur xénophobe.
Il faut dire que le président hongrois a été réélu avec près de 60 % des voix, un score qui fait des envieux, tant François Hollande est décrédibilisé à mi-mandat.
Il faut dire, aussi, que monsieur « Orbán » est un dirigeant à l’écoute de son peuple, intransigeant sur la question migratoire !
Il n’entend pas céder face à Bruxelles et sait le danger que l’immigration fait peser sur sa nation.
Budapest sera protégée des funestes volontés bruxelloises.
Pas Paris.

Le 16 juillet 2015, la Commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures a voté un « mécanisme d’urgence » pour relocaliser 40.000 demandeurs d’asile, se trouvant en Italie et en Grèce, vers d’autres pays de l’Union.
Ce nouveau système permanent prend en compte la « solidarité » et le « partage de la responsabilité entre États membres ».

Ils sont incapables de faire preuve de solidarité réelle avec la Grèce, mais lorsqu’il s’agit des migrants, tout le monde doit se mettre en ordre de bataille.

Pourtant, la véritable solidarité avec les Italiens serait de rendre impossible toutes nouvelles arrivées de personnes en provenances des pays extra-européens.

La fameuse politique australienne du “No Way”, que l’on pourrait traduire en Français par « On ne passe pas ».

Puisque l’Europe semble incapable de prendre les mesures qui s’imposent en matière migratoire, il faut que la France puisse sortir au plus vite de l’espace Schengen.
Les idées défendues par les députés européens sur le site « europa.ue » sont édifiantes :

« Les députés proposent que les demandeurs d’asile aient la possibilité, avant d’être relocalisés, d’établir un classement des États membres par ordre de préférence, et de motiver leurs choix selon des critères comme les liens familiaux, sociaux et culturels tels que des compétences linguistiques, un séjour, des études ou des expériences de travail antérieurs dans le pays.
Les États membres concernés devraient être informés des préférences des demandeurs et seraient autorisés à indiquer leurs préférences concernant les demandeurs qui les ont sélectionnés.
Des officiers de liaison nationaux pourraient faciliter la procédure en organisant des entretiens avec les demandeurs. »

Faudra-t-il bientôt demander aux clandestins s’ils préfèrent le foie gras d’oie au foie gras de canard ?

Cette politique viole les souverainetés nationales des Etats membres de l’Union, en leur imposant des quotas de migrants non consentis.

Au-delà du caractère suicidaire de ces mesures, le procédé politique est choquant.

Disons « NON » à l’Union européenne de Bruxelles qui est une machine à détruire notre civilisation en organisant scientifiquement une invasion migratoire d’une ampleur inédite.

Gabriel Robin

http://www.bvoltaire.fr/  du 19/07/2015

France, La Guerre Civile Est Déclarée !

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En toute impunité  !

En juillet 2015, ce sont 17 gendarmeries et commissariats qui ont été attaqués !

À Dinan, samedi, une bande de 30 « jeunes » (vous aurez compris de qui il s’agit, même au cœur de la Bretagne) a pris d’assaut la gendarmerie transformée en camp retranché.
Rien que dans les 15 premiers jours de juillet, ce sont 17 commissariats et gendarmeries qui ont subi les attaques de sauvageons.
À coups de mortiers, de cocktails Molotov, de fusils à plomb, de pierres.
Rien qu’aux Ulis, le commissariat a été assailli trois fois.
À Neuilly-Plaisance, cent « jeunes » ont assiégé le local de la police municipale.

Ainsi, en France, gendarmes et policiers sont régulièrement insultés, pris à partie, agressés par des « jeunes », souvent très jeunes, sans réaction et en toute impunité puisqu’ils savent qu’en cas d’interpellations, la justice s’empressera de les remettre dans la rue.
Même nos valeureux pompiers qui ont choisi de mettre leur vie en danger pour en sauver d’autres sont l’objet d’attaques commandos, souvent même d’embuscades.
Il arrive fréquemment dans nos cités que des « jeunes » incendient qui une poubelle, qui la voiture d’un voisin, appellent le « 18 » pour caillasser, dès leur arrivée, les soldats du feu.
Aux États-Unis, de tels actes sont considérés comme criminels et conduisent leurs auteurs tout droit en prison pour quelques années de réflexion, histoire de leur apprendre qu’on ne s’attaque pas impunément à ceux dont la devise est « sauver ou périr ».
Il leur faut du cran pour respecter leur autre devise, « courage et dévouement », car ils savent qu’appelés dans ces cités, ils auront à faire face à la haine brutale de ces jeunes Français de papier que la justice excuse sous prétexte que l’État ne leur a offert ni travail, ni éducation.

Car ces « jeunes » sont souvent issus d’une immigration de deux ou trois générations, parfois de double nationalité, qui n’ont pas spécialement demandé à être Français et dont ils n’ont pas adopté mais adapté la langue à leur culture.
Se glissent parmi eux quelques poignées de Français de souche dont les parents ont eu le malheur de devoir rester dans ce qui, désormais, porte le nom faussement rassurant de « quartier ».

Et que je t’insulte, que je te caillasse, que je te menace, que je brûle ta voiture de police.

Rien que de très normal, puisque les juges appliquent trop souvent avec beaucoup de rigueur les recommandations du ministère de la Justice et du syndicat du mur des cons.
Une rigueur qui permet à ces petits délinquants de recommencer, aussitôt libres de leur garde à vue, si par malheur passait par là le panier à salade, un vieux bus de la RATP recyclé GAV.
Les policiers sont furieux, mais peuvent-ils se rebeller ?

Ce laxisme officiel explique en grande partie pourquoi nos forces de police sont si peu considérées par ceux qui ont la haine de la France.
En s’en prenant aux représentants de l’ordre, au moindre uniforme,
(il y a, eu depuis janvier, 200 agressions répertoriées contre des soldats sur le territoire.
Merci, Vigipirate !)

C’est à la France que ces « jeunes » de 7 à 77 ans s’attaquent.

Et c’est bel et bien la faute de l’État qui oublie d’exercer ses fonctions régaliennes dans le seul souci d’éviter de provoquer les banlieues.

N’est-ce pas, Messieurs Hollande, Valls, Cazeneuve, et vous, Madame Taubira ?

Mieux vaut, en effet, interdire à nos forces de l’ordre, nos pompiers, nos soldats d’affronter ces sauvageons, ce qui serait mal perçu de leurs parents, futurs électeurs d’un certain Hollande…

Floris de Bonneville

http://www.bvoltaire.fr/ du 19/07/2015

Sain Réflexe De Défense Des Goyim

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L’énigme de l’antisémitisme

C’était en 1951 :

« Nous sommes inondés par les juifs »

faisait remarquer un agent d’immigration canadien à son collègue.
Il vérifiait les papiers d’un jeune couple avec un petit garçon. Mon père comprenait l’anglais. Il avait survécu de justesse aux Nazis.
Il s’agissait de sa bienvenue au Canada.
Heureusement, ce n’était pas un signe avant-coureur.
Nous rencontrâmes peu de discrimination et ma famille prospéra.
Néanmoins, mes parents voulaient s’assimiler.
Ils donnèrent à leurs enfants des noms à consonance anglaise et se mêlaient à peine à la communauté juive.
La mesure de notre observance juive était que ma mère allumait les bougies le vendredi et que nous célébrions les fêtes majeures.
Mes parents parlaient rarement de mes grands-parents qui avaient péri.
Ils semblaient considérer le fait d’être juif comme une malédiction.
Je me suis assimilé.
Il est donc ironique de constater que mon père, âgé maintenant de 85 ans, m’a renié parce que j’essaie de comprendre l’antisémitisme autrement que dans des termes simplistes.
Le fait que l’antisémitisme ne soit pas irrationnel ne justifie pas la politique Nazie de génocide.
Vous penseriez que les juifs voudraient comprendre ce qui s’est réellement passé.
Comment peuvent-ils autrement être sûrs qu’ils ne rencontreront plus le même sort ?

UN MÉCANISME DE DÉFENSE

L’antisémitisme n’est pas une haine irrationnelle ou une maladie dans l’âme du non juif, comme les juifs se l’imaginent.
Il s’agit d’un mécanisme sain de défense des nations principalement chrétiennes et musulmanes, des cultures, des races et des religions menacées par un processus graduel et insidieux d’extinction. (par exemple par le féminisme, la diversité, le gouvernement mondial).
La plupart des livres « antisémites » que j’ai vus sont remarquablement exempt de haine et de rancœur.
Ils ne préconisent pas la violence contre les juifs, mais présentent des mesures pour conserver le caractère national et racial semblables à celles qui sont pratiqué en Israël aujourd’hui.
Ils ont tendance à être raisonnables et à présenter les gentils comme des victimes irresponsables de l’intelligence supérieure juive.
« Léon de Poncins » serait même prêt à accepter une intendance juive SI elle était bénigne. La concurrence entre la vision du monde des « chrétiens » et des « juifs »  est le facteur central du développement du monde occidental.

« L’avènement du Christ fut une catastrophe nationale pour le peuple juif, en particulier pour la caste dirigeante »,

écrivit « Léon de Poncins ».

« Jusque-là, ils étaient les seuls à être les Fils de l’Alliance, ils avaient été ses seuls grands prêtres et ses bénéficiaires…
L’antagonisme irréductible avec lequel le judaïsme s’est opposé au Christianisme depuis 2000 ans est la clef et le ressort principal de la subversion moderne…
[Le Juif] a défendu la raison contre le monde mythique de l’esprit…
il était le médecin de l’incrédulité…
tous ceux qui étaient mentalement en révolte venait à lui en secret ou en plein jour… »
(« Le judaïsme et le Vatican », pp 111-113.)

« La question juive » a été un enjeu majeur depuis des centaines d’années.
Dès 1879, un écrivain allemand « Wilhelm Marr » a déploré qu’elle ne puisse pas être discutée avec honnêteté.

« Depuis 1848 si nous, allemands, critiquions la moindre chose juive, c’était suffisant pour nous faire entièrement mettre au ban de la presse.
Alors que le moindre sentiment de délicatesse est totalement absent chez les Juifs [lorsqu’il exerce la satire à l’égard des Allemands], il est exigé de nous que nous les traitions comme une pièce de verrerie fine ou des plantes très fragiles.  »
(« L’antisémitisme dans le monde moderne : Une anthologie » 1991, p.85)

THEODOR FRITSCH (1852-1934)

Appelé « le plus influent antisémite allemand avant Hitler »,  le livre le plus important de « Fritsch » « Handbuch der Judenfrage » 1896 (« Manuel de la question juive ») est passé par des dizaines de tirages, et a été enseigné dans les écoles allemandes à l’époque Nazie.
La plupart des exemplaires ont été détruits après la Seconde Guerre Mondiale.
Le « Manuel » a été traduit en anglais en 1927 et rebaptisée « L’énigme de la réussite du Juif » par « Ferdinand Roderich-Stoltheim », un nom de plume.
(pseudo de Théodor Fritsch – pelosse)
Il est extrêmement rare, les copies originales coûtent jusqu’à 1000 $.
« Fritsch » ne correspond pas à l’image des fauteurs de haine à la bouche écumante.
Son livre m’impressionne comme le travail d’un homme civilisé, d’un discernement spirituel considérable.
Son point central est que le judaïsme ne mérite aucun crédit pour le monothéisme parce que le Dieu juif n’est pas universel.

« Il s’agit d’une erreur fatale de nos théologiens de considérer le Dieu juif comme identique à celui des chrétiens.
Sous un examen approfondi, Jéhovah se trouve être le dieu exclusif de la juiverie et non pas, dans le même temps, celui des autres hommes. »

Il cite de nombreux passages de l’Ancien Testament pour démontrer que l’alliance entre les juifs et leur Dieu « recouvre un sens d’hostilité à l’égard de toutes les personnes non-juives. »
Par exemple :

« Demande-moi, et je te donnerai les nations païenne pour héritage et les parties les plus reculées du monde pour ta possession.
Tu les briseras avec une verge de fer… » (Psaumes 2.8.9)

En conséquence, le « Talmud » (le code de la loi juive) distingue un système de moralité pour les Juifs et un autre pour les païens, qui sont considérés comme du bétail ou des porcs. « Fritsch » cite de nombreuses références pour montrer qu’il est permis de mentir, de tricher ou de voler un Gentil. (pp. 57-65)
« Fritsch » conclut que l’antisémitisme est une réaction naturelle à ces attitudes hostiles qui sont effectivement pratiquées par beaucoup de juifs.
Étant donné que ces croyances sont tenues secrètes des non-juifs, dit-il, le judaïsme est une conspiration contre les non-juifs.
Son but est de servir l’Alliance, et d’atteindre la domination sur l’humanité en contrôlant la richesse.
Il affirme que tous les juifs font partie de ce schéma et qu’aucun ne peut s’en extraire.
Je respecte le droit des allemands et d’autres non-juifs à un foyer national, mais je pense qu’il a tort de juger tous les juifs sur une norme raciste.
Le caractère anti-gentil est nouveau pour bien des juifs qui subissent le lavage de cerveau, tout comme les gentils.
« Fritsch » aimerait-il être condamné pour ce que d’autres allemands (par exemple les Nazis) ont fait ou dit ?
Les juifs sont des individus et doivent être jugés sur leurs actions individuelles. La majorité est aliénée par le judaïsme et trouverait les passages bibliques cités ci-dessus répugnants.

CONCLUSION

Les juifs doivent réexaminer leur relation avec le judaïsme.

Je ne saurais exagérer l’importance du rejet juif du Christ.

Le Christ représentait un Dieu universel et une morale universelle.
Son enseignement représentait le prochain stade naturel, que les juifs auraient dû embrasser, tout en conservant leur intégrité raciale.
En rejetant l’enseignement du Christ, les Pharisiens ont placé le peuple juif dans l’opposition perpétuelle aux meilleurs intérêts de l’humanité, en travers du chemin ultime et inévitable de l’évolution spirituelle de l’homme.
Ils ont placé les Juifs dans un état de révolte métaphysique permanente qui, à un niveau personnel conduit à l’aliénation et au dysfonctionnement.

Le Christ a enseigné que Dieu est Amour.
L’amour est le plan directeur.
L’amour est la lumière.
Aime ton prochain.
Fais aux autres, comme tu voudrais qu’ils te fassent.

Quelle faute les Pharisiens purent-ils trouver à un évangile qui prêche la fraternité humaine et le fait de mettre les autres avant nous-même ?

Il les privait de leur revendication spéciale à être le « PEUPLE ELU » de Dieu et d’administrer la volonté de Dieu, qu’ils croient faussement être la leur.

https://henrymakow.wordpress.com  du 28/11/2012

Comme « Lucifer », les Hébreux contemporains de Jésus et leurs descendants qui n’ont pas voulu croire et ne veulent pas croire qu’il était le Messie annoncé par les prophètes, l’orgueil est le plus fort…malheureusement pour eux !

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