Archive | 04/09/2016

La Dernière Grande Mode Du Politislam !

Tchoporcvoile

Dans Notre République Française !

Le mors de Fatima libère la femme !

Hommes de peu de foi !
Peuple de mécréants ivres de médisance !
N’en aurez-vous donc jamais assez de répandre votre fiel à l’encontre des nobles fils d’Allah, des serviteurs fidèles du Prophète (que la Bénédiction du Précité soit sur Lui et sur Sa Descendance), de ces enfants du Sabre et du Croissant qui tentent depuis des siècles d’offrir au monde l’incomparable lumière du Saint Coran pour éclairer enfin les ténèbres scientistes de l’Occident ?

Grâce à « Pierre Cassen », fondateur de « Riposte Laïque » (mâtin, quel journal !) et animateur clandestin du « P.I.F. » (Parti des Islamophobes de France, le parti de ceux qui ont l’islam dans le pif) ainsi qu’à « Philippe Karsenty », nous avons pu découvrir un nouvel accessoire de mode qui fait fureur dans les Émirats Arabes Unis (http://ripostelaique.com/apres-le-voile-la-burqa-et-le-burkini-la-museliere-islamique-bientot-en-france.html) :

Le mors de Fatima

Et aussitôt, au lieu de s’interroger sur l’utilité de cet accessoire, au lieu de réfléchir paisiblement et objectivement à ses avantages (et à ses éventuels inconvénients), toutes les mauvaises langues (non encore confinées dans leur palais) se sont déchaînées contre cet objet avec une violence inouïe.

C’est bien ce que l’on appelle un procès d’intention.

Pis, c’est une grave atteinte à ce « vivre-ensemble-dans-la-paix-l’amour-et-la-fraternité » qui nous est si cher.

Faisons fi de toute cette hargne obscurantiste et penchons-nous calmement, sans haine et sans crainte (levez la main droite et dites : « je le jure ») sur cet unique objet de leur ressentiment.

Ce qui frappe au premier abord, c’est l’esthétique raffinée de l’œuvre.
Un subtil agrégat d’angles et de courbes semble réconcilier deux géométries antinomiques, les deux filles rivales d’Euclide en quelque sorte.
C’est un pont jeté entre deux mondes, une passerelle reliant enfin les Anciens et les Modernes, l’expression définitive d’un œcuménisme artistique parfaitement abouti.

La bouche, stylisée dans un design tout à fait contemporain, est représentée sous un angle déporté de quatre-vingt-dix degrés :
l’influence du Maître Pablo Picasso est indéniable…elle est ici magnifiée, sublimée, portée à un sommet de grâce et d’intelligence.

À l’inverse, la couleur de l’ensemble est un hommage plein de révérence à l’ancien monde.
Cette teinte verte, joliment usée, comme patinée par le temps, n’est pas sans évoquer quelque bronze d’une autre époque, de ces témoins figés, muets, qui contemplent l’éternité de leurs yeux morts et tranquilles. Serait-ce celle des yeux d’Athéna ?
La controverse est telle, à ce sujet, que je ne m’y risquerai pas…

C’est un artiste, donc, qui a donné forme et vie à cet objet, un artiste intemporel, délié de toutes les contraintes de l’instant présent, un de ces hommes – rares – qui tutoient l’infini, le front dans les étoiles, et vont leur chemin sans se soucier des modes ou de l’air du temps.

Mais au-delà de ses qualités purement artistiques – qui se suffiraient à elles-mêmes – cette nouvelle parure a une réelle utilité et vient apporter aux sœurs dans le chemin d’Allah le secours et l’assistance dont elles avaient si grand besoin.

Les femmes sont des êtres fragiles, faibles, prompts à céder à la tentation.
Les mahométans, dûment instruits à ce sujet par le petit livre vert du Président Momo, le savent mieux que quiconque.

Les laisser sortir dans la rue ou dans quelque autre lieu public revient à les livrer sans défense à une multitude de stimuli, de tentations, de provocations du Diable lui-même ou de ses djinns (qui vont souvent par paires) au risque, pour elles, d’y succomber et de se condamner aux flammes éternelles de l’Enfer.
Quel homme pieux laisserait sa fille, sa sœur, sa mère, son épouse courir un tel danger ?

Mais le pauvre disciple du Grand Chamelier n’a pas toujours le loisir d’accompagner lui-même l’imprudente qui s’obstine à affronter les périls de la rue.
Entre les prières et les ablutions, les repas et le temps (long) de la digestion, les épouses à honorer et les esclaves à labourer pour la plus grande gloire d’Allah, le temps qui lui reste est bien court…

Et c’est alors que notre génial créateur, inspiré par le Très-Puissant et Très-Miséricordieux cité plus haut, inventa ce nouvel accessoire, le mors de Fatima, à la fois parure féminine élégante et raffinée et instrument de sauvegarde de la femme en terre d’Islam.

Ainsi, la sœur fragile qui souvent s’égare jusqu’à adresser la parole à des inconnus, parfois même à des hommes qui pourraient être – c’est à peine si j’ose le dire – des Juifs ou des associateurs, en sera-t-elle, grâce à lui, empêchée et préservée de la damnation surchauffée.

Ainsi, la faible créature, sans homme à ses côtés pour la protéger pendant la période bénie du Ramadan, trouvant par hasard – et en plein jour – un grand verre d’urine de chameau perfidement laissé sur son chemin par le Tentateur, ne pourra-t-elle céder au désir irrépressible de le vider d’un seul trait, au prix de son salut éternel.

Ainsi, la moukère voilée, éloignée pour un temps de son gynécée et sujette à d’autres appétits (sur lesquels je ne m’étendrai pas), sera-t-elle empêchée, grâce au mors de Fatima, de faire de sa bouche l’usage odieux (que rigoureusement ma mère m’a défendu de nommer ici) qu’en font trop souvent les mécréantes occidentales et qui leur vaudra, à coup sûr, une éternité de souffrances au sein du Grand Crematorium d’allah.

Et voilà, lecteurs impies, tout ce que vous n’aviez pas vu, j’en suis sûr, tout ce à quoi vous n’aviez pas songé avant de déverser vos tombereaux malséants d’injures et d’anathèmes sur ce qui constitue un réel progrès pour l’Humanité tout entière !

Grâce au mors de Fatima, les hommes pieux seront enfin rassurés sur le sort de leurs épouses-sœurs-mères-filles dans l’Au-Delà, sans devoir pour autant leur interdire toute sortie hors les murs.

Grâce au mors de Fatima, les filles aimantes du prophète seront préservées de la tentation sans avoir à fournir pour cela le moindre effort de volonté.

Aussi, je vous le dis, je le clame haut et fort : en vérité, le mors de Fatima libère la Femme !

Et c’est ainsi qu’allah est grand.

Raphaël Delahaut

http://ripostelaique.com  du 04/09/2016

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