Nous sommes chez nous !
Pas les envahisseurs !
Cet article a été publié sous le titre « Il Faut Sauver L’Europe Blanche » il y a plus de deux ans !
Il faut savoir lire entre les lignes et se souvenir des paroles de César :
« Pour vaincre ses ennemis, il faut combattre avec SES armes ! »
Des ennemis de l’Europe Blanche et alliés de l’invasion africaine.
Extrait :
C’est uniquement en France que l’on remarque aujourd’hui un accord secret, plus parfait qu’il n’a jamais été, entre les intentions des boursiers, intentions dont les Juifs sont les représentants, et les vœux d’une politique nationale inspirée par le chauvinisme.
Et c’est précisément cette identité de vues qui constitue un immense danger pour l’Allemagne.
C’est pour cette raison que la France est, et reste, l’ennemi que nous avons le plus à craindre.
Ce peuple, qui tombe de plus en plus au niveau des nègres, met sourdement en danger, par l’appui qu’il prête aux Juifs pour atteindre leur but de domination universelle, l’existence de la race blanche en Europe.
Car la contamination provoquée par l’afflux de sang nègre sur le Rhin, au cœur de l’Europe, répond aussi bien à la soif de vengeance sadique et perverse de cet ennemi héréditaire de notre peuple qu’au froid calcul du Juif, qui y voit le moyen de commencer le métissage du continent européen en son centre et, en infectant la race blanche avec le sang d’une basse humanité, de poser les fondations de sa propre domination.
Le rôle que la France, aiguillonnée par sa soif de vengeance et systématiquement guidée par les Juifs, joue aujourd’hui en Europe, est un péché contre l’existence de l’humanité blanche et déchaînera un jour contre ce peuple tous les esprits vengeurs d’une génération qui aura reconnu dans la pollution des races le péché héréditaire de l’humanité.
Adolf Hitler in “Mein Kampf”
Une tendance réactionnaire s’empare d’une partie minoritaire de l’opinion publique de certains pays européens.
Cette tendance, nourrie de l’illusion d’un possible retour à une Europe éclatée – qui à défaut d’efficacité rassure les esprits anxieux – se nomme d’elle-même “souverainiste”, parfois “populiste”.
Son seul rôle objectif :
attiser les forces centrifuges qui, depuis un siècle, ont conduit au suicide de l’Europe.
Face à eux, ce que l’on pourrait appeler les “nationalistes européens”, doivent clarifier leur position.
Tout particulièrement en France ou le chauvinisme ranci et les haines séculaires recuites servent au Front National de raison d’être pour porter un coup mortel aux Européens de race blanche.
Le “nationalisme” français, antinational par essence
Ce qui fonde la France en tant qu’état-nation est, depuis la révolution française, le contrat social rousseauiste.
Cet égalitarisme individualiste prédispose qu’aucun déterminisme ne saurait être un préalable à l’existence d’une communauté politique.
Ainsi, la “nation française” telle qu’elle a été pensée à partir du XVIIIème siècle et dont les conceptions forment le coeur nucléaire du nationalisme français, est exclusivement “volontariste”.
C’est bien l’adhésion aux principes de la nouvelle philosophie des Lumières qui sert de ciment à la “nation” et non pas une réalité préexistante, ethnique.
La France est ainsi devenue le premier état moderne fondé sur une idéologie et non sur une réalité héritée.
Pour les révolutionnaires il faudra dès lors tordre la réalité sociale et culturelle du royaume de France pour qu’elle épouse les exigences de l’idéologie révolutionnaire.
Ce sera par exemple le découpage des pays de France selon les exigences du rationalisme égalitaire, avec la création des départements.
Ce sera aussi la normalisation culturelle selon la ligne de l’Abbé Grégoire qui proposa et obtint qu’on “détruise” les langues celtique, germanique, latine du royaume.
Ce sera l’athéisme de la Troisième République.
Si l’Ancien Régime fondait la légitimité du roi de France sur le droit divin, le nationalisme français a troqué ce dernier contre l’adhésion à l’idéologie nationale française, pur produit du modernisme politique. Le “nationalisme français” en réalité ne fut jamais “national” – de “natio”, “naître” en latin – mais son exact opposé.
Sorte de religion séculière, elle s’organisa autour des “droits de l’homme et du citoyen”, en lieu et place de l’Evangile et de la tradition sociale européenne.
Le nationalisme français fut dès l’origine un oxymore.
La réaction salutaire vint d’Allemagne.
Alors que les troupes napoléoniennes occupaient les états germaniques, les premiers élans pro-révolutionnaires furent vite déçus devant ce qui apparut comme un simple impérialisme, aussi brutal qu’étranger.
La réponse vint notamment de « Fichte » dans son “discours à la nation allemande”, lequel indiqua que ce n’est pas l’adhésion à une philosophie qui fonde le pacte politique sur lequel repose une nation, mais sur l’appartenance culturelle commune, notamment sur la base linguistique.
Les Allemands tenteront dès lors de se doter d’un état national unifié qui épouse leurs frontières culturelles.
La France elle, déjà unie politiquement mais éclatée culturellement sous la monarchie, n’avait naturellement pas pu concevoir dialectiquement un tel déterminisme préalable pour légitimer, « a posteriori », le pouvoir révolutionnaire.
En France, l’état exista sans qu’un peuple ne le précède, simple résultat des succès politiques d’une dynastie régnante.
D’où la fameuse et révélatrice sentence, d’ailleurs inexacte, “Ces 40 rois qui ont fait la France”.
Si des rois “ont fait” la France, c’est bien qu’elle n’existait pas indépendamment du fait politique.
Comme le résuma un auteur :
“La nation française est morte avant d’avoir existé, à Alésia”.
En Allemagne, le peuple germanique existait sans qu’un état n’ait à le “créer”.
Cette opposition entre “nationalisme civique” et “nationalisme ethnique”, entre état artificiel et état naturel, demeurera irréconciliable.
L’assemblage artificiel de groupes humains sous la direction d’un centre politique porte un nom : l’impérialisme.
Et la France est le prototype même de l’empire en opposition à la nation, comme tout homogène.
Ce qui rend dérisoire la prétention de certains cercles chauvins affirmant que “La France fut toujours une nation opposée aux empires”.
La France est la quintessence de ce qu’est un empire.
Le stato-nationalisme a détruit l’Europe
La France ne fut pas seule à tenter de maintenir un état-nation dépourvu d’unité “nationale” ou ethnique.
Et il fallut encore plus d’un siècle pour que l’essentiel des dynasties régnant sur des ensembles hétérogènes ne s’effondrent, comme l’Autriche-Hongrie.
Face à eux, l’ethno-nationalisme devint un puissant facteur de libération de peuples entiers qui, jusqu’à lors, ne disposait d’aucun instrument politique créé par eux, selon leurs aspirations, pour les servir.
Mais il devint aussi, par contrecoup, un formidable facteur de trouble sur tout le continent.
C’est bien un nationaliste serbe qui déclencha la première guerre mondiale en assassinant l’archiduc François-Joseph à Sarajevo.
Les stato-nationalismes européens, à présent réveillés, succédant aux anciennes monarchies, se livrèrent à deux guerres mondiales pour s’assurer de l’hégémonie continentale.
La France, l’Angleterre et la Russie d’une part, contre l’Allemagne essentiellement de l’autre.
Il fallut deux guerres mondiales pour que, mutuellement anéantis, ces pays en viennent à se rapprocher, ceci d’autant plus rapidement que des empires non-européens se disputaient la domination du continent, en l’espèce USA et URSS.
L’URSS qui ligua les peuples de couleur contre les empires coloniaux des puissances européennes, à l’instar des USA.
Ce qui contribua dans un jeu dialectique paradoxal à l’affaiblissement mondial de la puissance blanche, mais aussi à leur recentrage sur leur propre foyer de civilisation.
Mais dès avant ces deux guerres dévastatrices, les états-nations européens, notamment français et anglais, cherchèrent dans le colonialisme à s’assurer de ressources supplémentaires susceptibles de conforter leur puissance continentale.
Et c’est ainsi qu’idéologiquement ces puissances européennes devinrent de facto des puissances non-blanches en lutte contre le coeur du continentincarné par l’Allemagne.
Cette trahison de l’Europe blanche par des bourgeoisies nationales expansionnistes se manifesta formidablement dans l’utilisation de soldats de couleur lors des deux conflits mondiaux pour défaire l’Allemagne.
Cette mutation géopolitique des deux puissances d’Europe de l’Ouest qu’étaient la France et l’Angleterre impériales, coïncida parfaitement avec leur conception exclusivement civique de leur nationalité.
Si à l’époque le racisme était populaire au sein de leurs élites, jamais celles-ci n’abolirent leur constitution égalitaristes et universalistes issues du XVIIIème siècle.
Ce qui permis à l’Etat Français, dès le premier conflit mondial, de naturaliser des Sénégalais et de même en faire des membres du corps politique, ouvrant la voie à la créolisation ultérieure de la France.
L’état-nation français et sa mutation africaine
Le cadre national explosa avec le triomphe des idéologies au XXème siècle. Détachées de leurs antiques appartenances religieuses, sociales et politiques, les masses d’Europe durent trouver un nouveau ciment. Si le ciment national parvint à unifier de façon transitoire des communautés humaines sur une base ethnique et historique, le choc marxiste et sa réponse fasciste fit voler en éclat le concept de frontière. Ceci d’autant plus vite que la normalisation induite par la révolution industrielle intégrait de plus en plus dans un tout cohérent au plan économique les peuples d’Europe et d’Amérique. A la menace globale du marxisme répondirent le fascisme et, également, le démocratisme.
Une fois le fascisme écrasé, sous les coups convergents des démocraties pro-américaines et de l’URSS, le choc idéologique se poursuivit jusqu’à la chute du mur, déterminant les lignes de fracture.
Dans ce cadre, l’Etat-Français tenta de maintenir son empire colonial au nom de l’anti-communisme et non plus, pour lui-même. Lors de la guerre d’Algérie, une fraction de la bourgeoisie française tenta de trouver une alternative entre les deux blocs dominant le continent européen, en se maintenant en Afrique du Nord. Ce projet “franco-africain” consistait, bel et bien, à créer une puissance métissedont la pointe se maintiendrait au coeur de l’Europe, contre l’URSS, et aux côtés des USA tout en en étant indépendante. La mutation engagée lors du premier conflit mondial s’affirmait pleinement et entièrement.
L’émergence des civilisations-puissances
L’état-nation français se maintint donc comme puissance réactionnaire en ce qu’elle cherchait à ne souscrire à aucune idéologie étrangère à la sienne propre, qu’on définirait comme “nationale-cosmopolite”, à rebours du mouvement historique.
Recherche de la puissance pour la puissance, sans autre finalité que sa propre reproduction, l’Etat Français et son colonialisme témoignaient de ce que le “nationalisme français” n’était qu’un impérialisme devenu multiracial par nécessité puis progressivement par conviction, avec moins de vigueur que ses opposants de par la réduction considérable de son poids mondial par comparaison.
L’expansion des idéologies, fruit du développement normatif du capitalisme et des oppositions qu’il générait, faisait pourtant voler irrémédiablement en éclats le cadre national.
Et la France, quoiqu’elle prétendait agir dans un cadre “national” en Algérie, agissait également dans une perspective transnationale.
Après la chute du Bloc de l’Est, certains crurent brièvement que de cette guerre idéologique entre Est et Ouest, la démocratie marchande en était sortie victorieuse.
C’était là en réalité un simple état transitoire avant le nouveau paradigme des conflits issu du dégel : le choc des civilisations.
Libérées des tutelles coloniales, y compris marxistes après la rupture entre l’URSS et la Chine maoiste, les puissances non-blanches s’affirment rapidement.
Notamment dans le cadre du mouvement des non-alignés.
Convertis au capitalisme à la fin du XXème siècle, de nouvelles puissances de dimension continentale et civilisationnelle partent à la conquête de la domination régionale : Chine, Inde voire Brésil.
Ces puissances, pour contrer leurs opposants, se rassemblent non plus autour du critère national, bien trop restreint pour pouvoir suffire, mais autour du critère civilisationnel, c’est-à-dire racial, historique et spirituel.
Ainsi l’Amérique du Sud en ce début de XXIème siècle, alors qu’encore récemment sous tutelle nord-américaine, est en voie d’intégration accélérée, commençant même à vouloir symboliquement briser les derniers restes du colonialisme britannique en revendiquant unanimement l’abandon par Londres des îles Falkland (reconquises en 1982 par l’armée anglaise).
L’avenir de la race blanche
Dans ce contexte de reflux géopolitique, la race blanche est en pleine déconfiture.
Sa natalité parle pour elle :
De 30% de la population mondiale au début du XXème siècle, elle n’en est plus, dans sa totalité (1 milliard) qu’à 14% en 2014.
Si l’on évoque la seule Union Européenne, nous parlons de 500 millions d’habitants, soit 7% de la population mondiale.
Confrontée à un hiver démographique sans précédent et à un vieillissement accéléré, l’Europe verra la densité de sa population réduire rapidement.
L’Italie ou l’Allemagne en sont à perdre 30% de leur population pour la prochaine génération (1,3 enfant par femme).
La France ne maintient une illusion de stabilité qu’en déléguant aux populations sous-développées d’Afrique le soin de la repeupler, en cohérence avec son nationalisme égalitaire et universaliste.
En parallèle, en 2050, la terre comptera 10 milliards d’habitants dont 2 milliards d’Africains noirs, sans espoir de développement et dont les bassins de peuplement sont d’ores et déjà saturés.
La seule Union Européenne ne représentera, au mieux, que 4% du total.
Et encore sa population sera-t-elle très vieillissante.
L’Afrique se déversera en un flot ininterrompu,
mettant sous pression les fragiles peuples blancs du continent.
Le stato-nationalisme français, ennemi des peuples blancs
Face à cette réalité, une fraction de la bourgeoisie française, subjuguée par ses conceptions anti-raciales issues de 1789 et nostalgique de son aventure coloniale et nourrissant un réflexe revanchard méprisable – dégénérescence encore aggravée par le marxisme culturel ambiant – veut maintenir son existence indépendamment du continent européen, dans une posture réactionnaire dérisoire.
Cette existence autonome suppose, par évidence, la division maximale de ce continent sur le plan politique, afin de ne pas être satellisé par un pilier italo-germanique dominant.
Mais aussi d’assurer sa stabilité interne en confortant son ciment idéologique “rousseauiste” sans lequel la France sombrerait dans une guerre ethno-raciale et religieuse avec sa minorité afro-musulmane.
La France, pour exister en tant qu’état indépendant, doit par obligation travailler à l’affaiblissement de ses voisins, ou plutôt de son unique voisin : l’Allemagne.
Il ne s’agit, ni plus ni moins, que de reconduire les scenarii de 1914-1918 et de 1939-1945.
Pour cela, elle ne peut que chercher un appui en Afrique, afin de trouver un espace capable de contrebalancer l’Europe dominée par la puissance allemande.
Si la faction souverainiste française l’emporte, elle s’associera à l’Angleterre – qui suit la même pente desuicide racial – et aux USA si cela lui permet de renforcer sa position face à l’Allemagne et donc d’affaiblir le continent par contrecoup.
Très logiquement, pour elle, il lui faut donc oeuvrer de façon ordonnée à sa déseuropéanisation et à son africanisation, intérieurement et extérieurement, car c’est là sa seule alternative si elle veut échapper à l’unification en cours qui abolit sa raison d’être.
La France, erreur géopolitique issue du Traité de Verdun
L’unité européenne a été restaurée en 1940 lorsque l’armée allemande a vaincu la France et conquis Paris.
Et une seconde fois lorsque fut signé le Traité de Rome, après guerre.
Ce fut garanti par l’alliance entre la France et l’Allemagne dans un tout qu’est devenu ensuite l’Union Européenne.
Ce fut la réparation du Traité de Verdun qui vit l’empire carolingien scindé en trois parties, en réalité uniquement deux, dont la division se maintint pendant plus d’un millénaire avec les conséquences que l’on sait.
L’empire carolingien lui-même visait à réparer la catastrophe géopolitique que fut la chute de l’Empire Romain d’Occident.
Le Royaume de France, issu du démantèlement, n’eut de cesse d’empêcher la restauration de l’Empire, quitte, à l’instar de François Ier, à s’allier avec les Turcs alors qu’ils étaient aux portes de Vienne.
C’est là résumer tout l’apport de “l’exceptionnalisme français” sur le plan politique européen.
Napoléon pour la France et Hitler pour l’Allemagne tentèrent, à leur façon, de réparer cette erreur géopolitique médiévale en unifiant le continent.
Finalement ce furent De Gaulle et Adenauer qui scellèrent à égalité l’unité retrouvée.
L’Europe puissance suppose le démantèlement de l’Etat Français
Aujourd’hui, il n’est plus question de concurrence entre dynasties ou entre nations, « mais de l’avenir de la race blanche », réalité qui abolit la notion dérisoire de “frontière nationale” ou de nationalisme exclusif.
En maintenant cette fiction nationale, le “souverainisme français” constitue, à un moment crucial de l’histoire des peuples blancs, un mouvement réactionnaire qui s’oppose à la prise de conscience du destin commun qui unit les Français de souche à leurs compatriotes européens.
Mais ces souverainistes ne sont pas seuls :
d’autres éléments de dissolution similaires sont à l’oeuvre un peu partout en Europe, avec moins de force.
Dans le même temps ce “souverainisme” n’a de cesse, en toute logique, de minimiser le fossé ethnique et racial entre Français de souche et immigrés afin de conjurer l’effondrement du destin exclusivement stato-national de la France isolationniste à laquelle ils aspirent.
La simple reconnaissance d’une incompatibilité ethno-raciale et spirituelle entre immigrés non-Blancs et Français de souche suffisant à abolir l’idée même “d’état-nation français” au profit d’une conscience ethno-raciale paneuropéenne.
Et de fait, c’est bien l’affrontement entre immigrés et Européens dont l’union sera cimentée par l’islam, qui unifiera définitivement le continent.
On comprend dès lors pourquoi les souverainistes redoutent par dessus tout un tel conflit et pourquoi ils n’ont de cesse de désigner les autres pays européens, Allemagne en tête, comme ennemis prioritaires.
L’Etat Français est par construction l’ennemi des peuples européens de race blanche, comme tous les états-nations du continent, mais à un degré supérieur.
Son idéologie comme son passé et sa composition ethnique le prédisposant à une politique « néronienne » de destruction de toute unité européenne au profit d’un nivellement par le bas dont il veut être l’avant-garde.
Son atavisme cosmopolite et sa pathologie de la grandeur, devenue ridicule mais mortellement dangereuse, ne peuvent être abolis autrement qu’en le démantelant complètement.
Et, à tout le moins, en l’affaiblissant à un point tel qu’il ne puisse plus agir.
Cependant, de par sa politique, l’Etat Français en voie de « CREOLISATION » se livre à sa propre destruction et ne peut espérer inverser le cours de l’histoire.
Comme en 1940, les Français de souche encore conscients, s’ils veulent survivre, doivent choisir le camp de l’Europe, et non celui de l’illusion stato-nationale à l’heure où la race blanche est menacée de submersion si elle ne s’unit pas en tout, solide et conscient de lui-même.
En tout état de cause, tant que la France sera constituée en tant qu’état, l’indispensable union politique des peuples blancs du continent sera impossible.
L’Etat Français n’est plus et ne sera plus, tant qu’il tiendra debout, que l’avant-garde de l’Afrique en Europe.
Le FN : parti de la réaction
Le FN de par sa ligne souverainiste, malgré des aspects trompeurs sur les questions d’immigration, est condamné à mener une politique d’esprit juif, en faisant sien le métissage de l’Hexagone moyennant la stabilité de l’état qu’il veut rétablir pleinement et entièrement.
Il n’aura comme programme constant que l’affaiblissement de l’Allemagne, moyennant n’importe quelle alliance : anglaise, américaine, africaine sur son sol, ou autre.
Ce parti revanchard et bêtement chauvin, n’a plus à offrir comme rôle significatif, que sa contribution à la ruine du continent, faute de pouvoir faire exister l’Etat Français au delà de cette politique.
Ce parti réactionnaire luttera pied à pied contre l’émergence, chez les Français de souche, d’une conscience unitaire européenne, faisant feu de tout bois pour légitimer sa politique suicidaire faite de haines recuites, de délire chauvin, de mégalomanie impérialiste et de messianisme révolutionnaire d’un autre âge.
Lors de l’avènement de Napoléon, les réactionnaires monarchistes s’allièrent avec les ennemis de la France d’alors qu’étaient les Anglais.
Ces réactionnaires stato-nationalistes nostalgiques du XIXème siècle n’agiront pas différemment et s’allieront à tout ce qui nuira à la puissance continentale européenne fédérative, d’abord et avant tout au détriment objectif des Français de souche dont la seule planche de salut est l’unité européenne.
Aux Français de choisir entre la Françafrique et l’Europe.
Les Bretons, fidèles à leur tradition, choisiront le camp de l’unification continentale.
Poellgor skridaozan
http://breizatao.com/ du 12/04/2014
Il faut absolument choisir les nôtres, il faut choisir une France Européenne Blanche !